ERIC CHEVILLARD - L'autofictif nu sous son masque
Oui, ça y est, je me suis lancée dans les Autofictifs imprimés sur du papier. Après presque quatorze ans à suivre cette activité bloguesque de monsieur Chevillard avec ces trois notes, trois fragments ou trois idées par jour lancées comme ça dans les cathéters de l'internet, sans en acheter la version papier, je me suis dit qu'il fallait que j'en ai la version imprimée sur du papier d'autant que j'avais raté quelques épisodes en 2020 et en 2021 à l'insu de mon plein gré. J'ai donc rattrapé le retard et je peux tranquillement continuer ma collection Chevillard qu'il va falloir encore compléter. A noter que, pour cet exemplaire de nudité masquée, j'ai eu un masque gratuit ainsi que toute la sympathie signée de l'auteur pour avoir souscrit à la publication d'avant fêtes de fin d'année. Bien cordialement, je me dis qu'à l'heure du numérique, avoir des Chevillard dédicacés sur papier, c'est peut-être un pari voire une spéculation pour mes vieux jours. Un petit patrimoine, peut-être, à mettre en route ? Peut-être serait-il temps, en 2022. A noter que ce Nu sous son masque sort aujourd'hui, jour de l'épiphanie, aux éditions bordelaises de l'arbre vengeur à commander chez son libraire, évidemment. On rit avec monsieur Chevillard, évidemment. On rit avec Éric. En revanche, je m'abstiendrai de galette des rois cette année, je n'ai plus d'argent et en plus, ça fait grossir, tout ce beurre et cette crème d'amande.
Je ne sais pas encore si je peux spéculer sur ces Marathons autofictifs dont quelques-uns sont en ligne sur YouTube. Toujours intéressant d'écouter la version de Christophe Brault du lire de l'écrire d'Éric Chevillard. Une version différente de la mienne quand je lis ces autofictifs dans ma tête de linotte.