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Le blog de Nature et Culture Un peu de nature et un zeste de culture

Sceller notre recherche humaine

Nature et Culture
Sceller notre recherche humaine

Des trèfles à quatre feuilles 🍀 pour sceller notre recherche humaine. C'est la #chansond'Éric qui se scelle avec ces oxalis qui font fuir les poissons mais pas les redevances. Aurais-je la chance de rencontrer Éric Chevillard autre part que sur les plages de vacance, les serviettes abandonnées des touristes trop pressés par le réassort du mois d'août.? A la fin août il y aura le réassort de la rentrée littéraire,  ce qui laisse peu de temps pour son propre réassort. Quand est-ce qu'on essore les bas de laine à coups de pattes tubulaires qui font qu'on évitera les pattes-mouilles de la caisse à savon de Nogent-le-Rotrou pour fêter la récup' ? Il faut récupérer le pied de la tambouille à Gaston. Il faut de la paille et du foin dans le coq au vin. C'est ce que me disait Chaissac dans la marmite de la métempsychose. T'es pas psy ? Faut qu'on cause. De quoi as-tu besoin maintenant ? D'un pack d'eau avec la redevance qui n'aboutit jamais à rien ? Tu as besoin d'un pack d'avance avec les voix de ton chien et de ton chat ? Où il est ton chat ? Pas avec moi. Il est avec ton cheval à Tombouctou. Il a ramené du senfou. Issenfou a mis du grain sous le genou du matou. Il a mis du beau grain de la redevance de Martin pour faire le coup de la suffisance mais Gaston a vu le truc de Marcel. Il sait qu'il aime les demoiselles du foot, c'est pour ça qu'Huguette aime le foot de Gaston. Elle ne peut pas s'empêcher de reluquer les garçons du Issenfoupleinlalampe. C'est pas une lampe, c'est un lampadaire et il faut rappeler la suffisance d'Eugénie qui aime les salsifis du bien public. C'est un bien public tout ça. Il ne faut pas virer sa cuti. Elise, elle est publique. C'est une personne privée mais on l'a nationalisée sur les champs de blé de l'autoroute à Marcel, avec Elsa et Louis. Il y a Louis Poirier aussi et un peu de François Bon. Elle invente la métempsychose mais c'est un bain d'illusion, un bain de l'illusion de l'hypnose par la musique à Repac. Elle écoute Technicolor. Elle est en technicolor et en quadrichromie. Elle goûte les salsifis. Elle aime ça. Et elle n'a pas de Tetrapack, elle laisse ça aux vaches de l'instant présent. Elle goûte au lait de ses salsifis. Elle redevient bébé. Elle est dans le ventre de sa mère. Elle veut bien un câlin mais sa mère a un gros chagrin. Elle veut dérouler le fil de sa vie, de cette sale Claudine qui fait ses salades avec Colette, alors que c'est elle Colette. Elise c'est Colette et Cosette à la fois. Elle aime Cloclo, pas les Bourguignons. Cloclo c'est un mets de choix et les Bourguignons la mettent dans l'embarras de l'apparat. Elle aime les champignons dans le bœuf bourguignon et se dit qu'elle ferait mieux de laisser ça aux pommes de terre plutôt qu'au riz. Et dans le riz, il y a les salsifis. Elise aime les salsifis mais pas le riz. Elle aime le couscous mais pas le riz au lait ni le triolet du refrain de la chanson. Ce qu'elle veut elle c'est une rose dans le réséda. Elle aime la rose du réséda, la rose du parfum de la chose, de la si belle chanson qui pleut sur son teint. Elle a beau teint. Elle a un beau teint avec le refrain de sa chanson, la #chansond'Eric qui ne s'arrête pas. Elle en a encore sous le pied. Elle fait des hula hoop avec le bois de la chanson et de la Kora qui ne m'appartient pas. C'est la kora du griot et moi je suis la griotte. Et la cerise ne répond pas. Elle n'est pas là. Elle s'est cachée sous mes draps. Elle tourne autour de son biceps et de son triceratops. Oui, Elise a un triceratops sur son biceps. Elle est bisexuelle et bissextile et elle aime le pistil des oiseaux, des petits piments oiseaux qui peuplent sa jungle. Et elle aime Eric par-dessus le marché. Elle sait que ça va lui faire les pieds. Sous ses pieds il n'y a rien. Elle est assise confortablement dans son canapé à écrire ses billevesées, des choses de Tarquin. Elle est narquoise et elle n'aime pas le bain de couleur de sa quadrichromie. Elle est habillée en noir, en rouge, en beige et en gris, comme la tatoueuse des champs voisins. Elise ne tatoue rien car t'as tout à moi. T'es tout à moi et je ne suis pas rien. Je suis juste ce refrain qui t'indispose. Il faut que je me repose. C'est la force des sentiments qui la mènent jusque là. Elle n'a pas dit son dernier mot. Son jeu est ouvert et elle ne voit pas la fin de ce jeu de société, ce Tetris pour enfants embarqués dans la zone level V-4 Go Pro. Elise est une go pro. Et elle a tout laissé avec le veau. Le sieau d'ieau pour le vieau a tout cassé dans la machine à Catherine. Mais Catherine ne sait pas très bien sur quoi accrocher son regard quand elle est sur Instagram. Elle commence par le premier qui arrive en tête, « Histoire de la littérature » par fbon. Le programme du bac en accéléré. Aujourd’hui c’est Lovecraft, quand un inconnu vous offre des stylos. Juste en dessous, une fiction biosourcée de sbailly, tellement bien biosourcée qu’Instagram lui propose une pub pour une crème hydratante. Elle se dit que ça lui gratte dans le dos tout à coup alors qu’elle n’en n’a pas besoin. Biovie ou biorythmie. Elle est dans l’arythmie à force de regarder toutes ces biovies, ces bieaux vies, ces belles vies du réel imaginaire. Ensuite vient vferniot qui lui montre comment faire à manger ; ça lui rappelle qu’il faut qu’elle se mette à la cuisine aujourd’hui, c’est jour de popote. Il va falloir qu’elle revoit à la baisse ses velléités d’écriture. Arrêt sur la benoîte urbaine du Chemin de la nature. Elle en a plein son jardin et elle en fait de délicieux gâteaux au yaourt. Mais ce n’est pas suffisant, redescendons encore un peu, que voit-elle sur son chemin ? Des addictions aux livres de toutes sortes, des pizzas, des Apple et Big Apple, des cygnes avec leurs vilains petits canards, des Figaro qui chantent le romarin, des rigolos du web et de la radio, fbon qui parle avec ses morts alors qu’elle, elle les entend, ses morts,  et quand elle rafraîchit tout ça, elle tombe sur de la poésie à trois balles, un peu comme la sienne, de poésie, mais il ne faut pas le crier trop fort sinon ça fait mal à ses intestins. Jacquemus et son défilé « papier » , ça tombe à pic. Que va-t-on bien pouvoir faire sans papier, ce produit de luxe que même les créateurs du luxe à la française s’en sont emparés ? On descend : milkshake pour deux à Riantec chez Lamour, c’est une drôle de proposition. Il faudrait la refaire à l’envers. Des oiseaux, de la poésie contemporaine, des fleurs. Par quoi allait-elle se laisser influencer ? La nature, la culture, la cuisine, les petits chats, les petites fleurs ou la poésie contemporaine ? Avec quoi allait-elle passer sa journée à force de concepts instagrammables ? Elle, elle n’est influenceuse de rien. Elle fait juste des vers de mirliton en inventant une fiction avec un écrivain du réel qui devrait se payer sa tête. Mais elle n’en fait qu’à sa tête et elle s’enferre dans ce fictionnel pris dans des éléments du réel pour faire sa tête de cochon. Tampon, elle a envie d’un tampon pour graver tout ça dans le papier de ses toilettes. Ça finira aux chiottes, dans le fond du trou de sa lessiveuse. 
Et quand elle jette un œil sur Facebook, que voit-elle comme information ? Rassemblement des rosières de France à Aurelcastel le 31 juillet 2022 avec les couronnements de la rosière de Saint-Jean et de la rosière de France. Les miss à la sauce vertu de la religion. Juste en dessous, une pub pour Action contre la faim. Elle ne sait pas où tout ça va la mener. Jusqu’au déjeuner ou elle s’arrête là avec la faim du mois d’août où elle se dit qu’elle irait bien boire un milshake pour deux chez Lamour à Riantec ?  Elle s’arrêtera là car il y a son traitement de texte qui déconne. Et elle c'est pas une machine, c'est l'sieau d'ieau pour le vieau qui a mis tout le refrain par terre. Il fallait pas le dire à Catherine mais le dire à Chaissac. C'est Chaissac qui est dans le Tetrapack avec la rue du fer à cheval dans le turbo de la machine. La machine à Catherine. Elise fait machine arrière et elle a des framboises dans sa machine arrière. C'est dans l'arrière salle, dans l'arrière cour, au fond de son jardin. Il n'y a pas de poireau qui aime les fraises mais des carottes livides dans des sacs plastiques de son congélateur. Elle a opéré une grande oblitération dans le coup du fer à vapeur. Et elle a de l'eau qui pétille dans le fer d'Eric qui croise le fer parce qu'il n'a pas la frite. Il a pris ses jambes à ses bras, se replie sur elle et part en imagination avec elle. Elle l'aime Eric, c'est sûr. Il ne la laissera plus partir loin des billets de trains qui ne sont plus rien qu'une salle d'attente pour aérochiens en laisse. Il faut qu'elle trouve des garde pour ses chiens qui ne la tiennent plus en laisse, elle en a assez fait pour aujourd'hui. Il manque des salsifis dans son Vircondelet : Duras Lifestyle. Elle a tout pompé à Duras à part le fric et les amants. Elise n'avait pas de fric et d'amants encore moins. Ca faisait pleurer Catherine qui la trouvait laide à faire pleurer les mandarines et rougir les nandinas qui demandaient de l'eau. Ils avaient soif et il ne fallait pas faire pleurer les Catherine. Le nandou était dans l'eau des macareux, et ça faisait pleurer Eric qui ne comprenait pas cette fille. Mais qu'est-ce qu'elle me veut à la fin ? Elle est belle à manger du foin et à domestiquer les savons dans la saponaire. Mais elle ne manque pas d'air ! Ni d'eau ! Elle en a plein dans ses plaques à induction. Des plaques à effet de serre. Il fallait refaire toute l'électricité dans sa baraque. Et elle n'avait pas un flèche. C'était un cancer cette baraque. Les  murs sont lépreux et elle a mis de l'air à tout faire valser. Elle a fait valser Eric dans une partie de ronds de jambes. C'est une ronde cette fille et elle n'aime pas les rondes, elle aime les maques rondes. Cette fille c'est Télémaque. Elle n'était pas dans la situation de son train. Elle aimait les Mac et les rondes Apple, les Apple Pomme. Appelle Pom et tu verras ce qu'elle va te répondre : c'est pas bientôt fini à la fin avec vos sollicitations et vos partis de jambes en l'air ? Vous avez mis tout ça dans la baraque ? Vous voulez croiser le chemin de fer ? Allez, croisons-le et partons en randonnée. Elle est belle comme ses pieds et elle retrouvera bien son chemin. Son chemin n'est jamais très loin. Elle n'habite pas loin de chez le garagiste. Le garagiste a pris sa frite à la maison triste. C'est la maison triste que ça s'appelle et pas le tube. Le tube c'est plus loin, dans la zone artisanale. C'est un grand tube à aspirer du fric. C'est un tube de premier envol. C'est là qu'on vole et qu'on croise les refrains. Prise jack, le refrain et on s'envole avec les oiseaux du ciel. Ils sont loin de l'Esterel. Ils sont dans mon ciel avec les hirondelles qui cherchent un endroit pour nicher. Je ne les ai pas vues passer mais je les ai aperçues sur le bord de la maison d'à côté. Elles venaient pépier en mettant de la boue et du torchis sur la façade. Elles sont parties quand j'ai voulu les photographier. Elles sont parties pépier plus loin, sur la maison d'en face. Elles en veulent aux façades et aux fenêtres et il n'y a pas intérêt de les bouger. Elles sont plus solides qu'avant, plus robustes. Elles tentent l'incruste et sont parties loin de chez Dédé Robillard qui habitait le village. Ni fleurs, ni couronnes mortuaires mais des lampadaires avec des aérosols. Il y en avait plein dans les artères de la fiduciaire. Et la fiduciaire était un contrat qui nous liait. Il nous manquait un contrat pour aérer les sols. Aérons les sols et refaisons marcher la machine à Catherine qui a le refrain de la machine à vapeur. Et Eric qui compte ses vapeurs et ses boyaux dans le train. Il ne va pas marcher longtemps comme ça à se faire du mouron pour moi. Du mouron des oiseaux, de la stellaire pour apiculteur. Nous allons sceller nos vis secrètes avec de la stellaire et du romarin. Nous allons brancher l'eau avec le puits romain et fusionner avec le puits canadien qui nous apportera l'air par-dessus le sol. Nous allons enjamber les fuseaux horaires et voler dans l'air capricieux des cieux. Il faut être dythirambique et audacieux. 

Élise est une tortue et Éric n'en n'a pas pris soin. Il lui manquait l'eau nécessaire à sa vie et la tortue a explosé sous la sudation d'Éric . C'est sa sueur qui a fait exploser la kératine alors qu'il lui fallait de l'H2O, de l'eau en molécule de bio. C'était de la biovie qu'il lui fallait, du crabe, des etrilles, des huîtres,  des moules, des coques et des palourdes sans oublier les bigorneaux,  ça rallongeait les apéritifs. Élise la tortue faisait des boissons fraîches avec de la mélisse, des tisanes qui la rafraichissaient. C'est comme le thym citron. Une bonne boisson chaude et c'est la soif du monde que l'on rattrape d'un coup. Comme le tatou. Il n'a pas encore tout dit mais Éric est un tatou tatoué dans le creux des reins. Le hérisson d'Éric nest pas tatoué dans l'éponge mais il gratte avec de la keratine et de la melatonine. Non ça c'est pour Elise, de la keratine dans le shampooing et de la melatonine pour dormir dans son bain. Élise est morte dans la baignoire avec le porc-épic d'Éric qui lui sert de peigne. C'est une brosse cette fille là,  c'est une brosse qui lui faut et pas un peigne africain. Non mais tu n'as pas tout dit. Il faut jouer aux Indiens avec la brosse à chien. O

On va revenir ailleurs, dans la fin des temps des chasseurs-cueillrurs qui n'ont pas perdu de temps. Ils mangeaient à leur faim, pas comme maintenant avec l'agriculture qui ne rallonge rien d'autre que les fosses à canon. Il fait faire attention au squelette  Elise n'a pas tout dit on vous a dit. Elle est un homme mort dans son sommeil. Et cet homme, c'est Éric qui fait de la metempsychose comme un  chien avec des bêtes immondes. Il chassait le malin qu'il mangeait avec le porc-épic de la boîte à canon. Il fallait une pique pour manger tous ces animaux là.  On mangeait des dragées avec des baies ouvertes en plein cœur.  C'est complexe cette affaire là. Homo sapins qui chasse et qui cueille, une femme robuste. Élise pêche et cueille les informations là où elle les trouve, sur son terrain favori loin des jupons fleuris mais avec ses copains d'enfance. C'est l'enfance qui la retient comme Bastien qui ne veut pas d'une mokli mais d'un cavillon. C'est un gouffre cette femme. Elle a dirigé des hommes. Elle a dirigé des chefs et des couvre-chefs. On. l'a fait vivre dans un taurillon qui l'a blessée. C'est un taurillon qui l'a achevée.  Elle n'avait pas vu venir ce taurillon, ce jeune broutard qui était arrivé à son acmé. Il était bon à manger mais elle n'avait pas voulu faire la fête elle voulait garder cette bête pas comme ses chefs qui l'ont fait venir pour qu'elle soit partie avec les meilleurs filets. Elle était dans le filet de l'acme. Elle était arrivée à son apogée et il fallait la remplacer par une plus jeune qui n'avait pas vu ses pieds. Elle s'est pris les pieds dans le succédané du café, le gaillet gratteron qui la fait vivre. C'est dans sa sépulture. Du gaillet et des grattons pour irriguer tout le chantier de la reconversion du chasseur-cueilleur en agriculteur. Ils ont fini de découvrir. Place à l'expansion pour ne rien retenir aujourd'hui qu'une artificialisation des sols et une dolomite. François Bon c'est ma dolomite et Éric Chevillard c'est ma dynamite.  Je suis Élise et je suis cousine avec la femme des dolomites,. C'est le mythe de la caverne cette histoire. Dans les cavernes il y avait à boire et des offrandes dans la mer à boire. Dans les glaciers il y avait des offrandes. Des perles de silex et d'ardoise. De l'ardoise pour taillera des flèches et du silex pour découper la nourriture. Dans les glaciers il y avait des blés pour les chasseurs cueilleurs lorsque la nuit fut tombée sur le beachcomb, dans le trou aux biches qui sont aux abois depuis qu'on a découvert qu'on n'était pas arrivés de travers. On est de travers et on ira aux abois. C'est des sacrifices qu'il lui fait. Elle est entrée dans son sacerdoce. Ce sont des enjoliveurs qu'elle a mis dans son rétroviseur. Le trou aux biches était loin de la mer, il était loin des glaciers, il était dans sa perine natale, dans ses Pyrénées-Orientales. Elle vient de là, de ce trou de Puy de Dôme qui l'emmène loin des sphères de la mer. Elle fait un tour de France, de Dolomites où elle a élu domicile après avoir perdu la vie de son fils. Elle était chasseuse-cueilleuse et faisait du chamanisme quand ça lui plaisait. Elle se plaisait dans ce trou là, avec de l'ocre et du pariétal. Elle ne voulait plus ses os dans le haut du front elle voulait ses cheveux en roue libre. Elle n'avait pas d'os en faut du front, elle avait des colliers de nacre et de la bouse pour faire fuir le transcendantal. Elle s'enduisait de bauge et d'enduit lissé. Ils s'eclairaient avec du suif dont ils recouvraient les vêtements. Des boules de suif dans les dents. Il fallait enduire les dents pour avoir un beau sourire et faire fuir le malin qui était là pour retirer les droits de veto.  Ceci est un droit de veto et ru as mis le transcendantal dans tes cheveux avec des paquets de gras des espèces animales et végétales.  Il fallait faire bonne impression sur le chignon qui recouvrait ton front. Ton chignon était ton front. Tu ne t'es aperçue de rien mais tu as les cheveux de l'aîmée, de celle qu'on a aimée dans les dolomites pour qu'elle fasse bonne impression. C'est ton glacier d'Italie et tu vas y repartir un jour pour voir de quoi ça a l'air mais pas trop haut car tu as le vertige comme sur les falaises d'Etretat qui t'ont fait forte impression  tu viens de là aussi  tu viens de la cime et des hauteurs. Tu es celle qui vole au-dessus de la planète et tu es ainsi faite que tu as pardonné à ton père toutes ses erreurs passées. Tu es de la saponaire et de la plante herbacée.   

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