DRANEM et l'identité nationale
Parlons peu mais parlons bien. Pour discuter aujourd’hui d’identité nationale, voici Dranem et Le trou de mon quai. Pas mieux encore.
Parlons peu mais parlons bien. Pour discuter aujourd’hui d’identité nationale, voici Dranem et Le trou de mon quai. Pas mieux encore.
Voici un message pour alimenter le débat sur l'identité nationale. Attention, c'est très profond !
A l'heure du débat sur l'identité nationale, voici une chanson des Noir Désir, Un jour en France. Au bistrot comme toujours Il y a les beaux discours Au poteau les pourris, les corrompus aussi Dents blanches et carnassiers Mais a la première occasion Chacun deviendrait le larron De la foire au pognon oui qui se trame ici Allez danse avec Johnny Se rappellent de la France Ont des réminiscences De l'ordre, des jeux, d'l'essence Quand on vivait mieux Il y avait Paul et Mickey On pouvait discuter mais c'est Mickey Qui a gagné D'accord,n'en parlons plus Un autre jour en France Des prières pour l'audience...
Le samedi, c’est de la nostalgie en pagaille. Aujourd’hui, à l’heure où le débat sur l’identité nationale fait rage et semble n’avoir ni queue ni tête, on va remonter dans les années 80. A l’époque, l’association S.O.S. racisme avait sorti, pour contrer la montée d’un parti politique d’extrême-droite, une petite main que l’on pouvait accrocher à sa veste et où il était inscrit « Touche pas à mon pote ». A l’époque, donc, un groupe se faisait entendre. Il s’appelait Carte de séjour et son chanteur n’était autre que Rachid Taha. Et ils avaient cartonné avec cette reprise d’une chanson de Charles...
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Je connaissais Cyril Pedrosa pour être l’un des participants à Fluide Glacial. Autant dire que pour moi, la lecture de Trois ombres a été une surprise. Ambiance onirique, dans un espace-temps fait de costumes, de vie apparemment simple où un rien fera tout chambouler. Ce petit conte met en scène un papa, une maman et un petit garçon. La vie est belle jusqu’à ce que Joachim, le petit garçon, voie trois ombres. Trois ombres éloignées qui semblent vouloir s’abattre sur le destin de cette famille sans histoire. Et c’est là que l’aventure commence. L’ombre de la mort plane sur les personnages, leurs...
En voilà un qui ne ressemble à personne d’autre sur la scène française actuelle. Féloche et sa musique du bayou aux accents ouvertement cajuns, que l’on croirait issue d’un dessin animé. Darwin avait raison est bien dans cette veine là. Entre chanson, rock et électro mâtinés de banjo électrifié tout droit venu de la Nouvelle Orléans. Le tout est amusant et franchement ludique. Féloche est un artiste à découvrir, même si l’on ne sait pas encore grand-chose sur lui. A écouter, quelques titres sur Deezer, en attendant un album qui ne saurait sans doute trop tarder. Féloche - La Vie Cajun envoyé par...
Plus d’un an en Birmanie, et un journal de bord en forme de bande dessinée. L’auteur Guy Delisle a consigné dans cette BD ses impressions d’expatrié dans une dictature dirigée par une junte militaire sans pitié. C’est l’occasion de se rendre compte des conditions de vie d’êtres humains condamnés au silence et à la soumission. Parfois drôles, parfois touchantes et émouvantes, ces Chroniques birmanes consignent aussi tout l’exotisme d’un pays concentrant des richesses sous toutes leurs formes. Pierres précieuses, ressources naturelles, population opprimée et réprimée, conditions de vie des expatriés...